Pourquoi certains considèrent le libertinage comme une maladie ?

Le libertinage est une pratique qui permet à plusieurs personnes de s’épanouir surtout sur le plan sexuel. Elle consiste à s’adonner à tout plaisir sans retenue. De ce fait, beaucoup le considèrent comme une maladie. Découvrez dans cette revue pourquoi certains pensent que le libertinage est une maladie.

Le libertinage est une maladie : les raisons invoquées

Le libertinage est une pratique en vogue dans le monde moderne. Il est répandu en Europe et dans plusieurs autres zones du monde. À juste titre, plusieurs Sites pour rencontrer des libertins existent à travers la planète.

L’un des aspects les moins connus de la dépression pourrait être le libertinage selon certains professionnels. Lorsque quelqu’un s’engage dans des interactions sexuelles avec d’autres personnes, son but serait de se remettre d’un traumatisme. Il essaie de se trouver un moyen pouvant lui permettre de vivre un choc survenu à la suite d’une situation d’impact néfaste, cela sans pour autant être affecté.

Dans cette logique, lorsqu’un individu est en état de dépression cachée, les problèmes qui ont été à la base de son état persistent. Cet état est une condition médicale qui nécessite à la fois un soutien médical et psychologique pour être traitée.

Une personne déprimée qui essaie de soulager sa douleur par le libertinage se sentirait mieux lorsqu’elle a des relations sexuelles. Mais plus tard, le vide et la tristesse sont souvent plus grands parce que l’affection n’est pas authentique. L’intéressé continue alors à souffrir dans son corps malgré sa vie libertine.

Par conséquent, il y a une forte probabilité de développer une dépendance sexuelle. En raison du désir de se sentir à nouveau bien, une personne peut se retrouver constamment à la recherche de nouvelles manières de faire.

Ainsi, elle peut s’adonner à :

  • l’homosexualité ;
  • le lesbianisme ;
  • la prostitution et autres pratiques du même acabit.

Ces pratiques sont la manifestation vibrante du monde libertin. Même si elles ne font pas l’unanimité, elles sont un mode de vie, une identité pour plusieurs. Voilà autant de raisons qui pousseraient les gens à considérer le libertinage comme étant une maladie.

Considéré comme un recours après un traumatisme, il serait un moyen de vivre l’état béant de ses maux. Il s’agirait d’un symptôme de dépression. Cette dernière a de nombreux visages et n’est pas toujours apparente. L’un d’eux pourrait être le libertinage d’après cette conception.

Les causes du libertinage

Cette attitude sexuelle est fréquemment observée chez les personnes qui ont une faible estime de soi ou qui, pour une raison quelconque, sont incapables d’établir des liens émotionnels durables. Selon les psychologues, les causes du libertinage sont nombreuses.

Au nombre de ces dernières, il y a l’immaturité émotionnelle, le désir de s’engager et d’assumer ses responsabilités. Il y a également un affect extrêmement négatif, à savoir l’insécurité (la capacité de reconnaître sa valeur en tant qu’individu uniquement lorsque l’on se sent désiré).

À tout cela s’ajoutent le traumatisme, le manque d’amour et d’attention des parents pendant l’enfance et l’exposition précoce au contenu sexuel. Le libertinage peut aussi être une caractéristique comportementale de signes psychologiques spécifiques. Il présente plusieurs symptômes, dont la fatigue et le découragement constant, le fait de trop manger ou presque rien. Il y a aussi des difficultés à s’endormir ou une somnolence excessive, ne pas se valoriser ou un sentiment de futilité. Il y a de plus un manque de concentration et de mémoire, une manipulation de l’appétit, excès ou peu de nourriture.

Voilà autant de raisons qui amènent certaines personnes à considérer le libertinage comme une maladie.